mardi 14 octobre 2008

But

Bon un de mes buts et j’espere que je n’embete personne avec cela est de lire un article de conference chaque jour. Et pour m’aider a retenir les enseignments, je poste ce qui m’a marque sur mon blog. Aujourdh’ui :

La langue des anges
Jeffrey R. Holland du Collège des douze apôtres


"Comme tous les dons et « ce qui vient d’en haut », les paroles sont sacrées et doivent être dites « avec prudence et sous la contrainte de l’Esprit2 ». […]

Jacques a dit : « Nous bronchons tous de plusieurs manières. [Mais] si quelqu’un ne bronche point en paroles, c’est un homme parfait, capable de tenir tout son corps en bride. » […]


Est-ce une chose à laquelle nous pouvons tous travailler ne serait-ce qu’un peu ? Est-ce un domaine dans lequel nous pouvons chacun essayer d’être un homme ou une femme un peu plus « parfaits » ? […]

J’élargis cette recommandation pour en faire un sujet pour toute la famille. Nous devons faire très attention quand nous parlons à un enfant. Ce que nous disons ou ne disons pas, la manière dont nous le disons et le moment où nous le faisons, sont très, très importants pour former la perception qu’un enfant a de lui-même. Mais c’est encore plus important pour former la foi de cet enfant en nous et sa foi en Dieu. Adressez des paroles constructives aux enfants, toujours. Ne leur dites jamais, même en plaisantant, qu’ils sont gros, bêtes, paresseux ou pas très beaux. Vous ne le feriez pas par méchanceté, mais ils s’en souviendraient et mettraient des années à essayer de l’oublier, et à pardonner. Et essayez de ne pas comparer vos enfants, même si vous pensez que vous êtes doués pour le faire. Vous pouvez dire de manière positive que « Suzanne est jolie et Sandra intelligente », mais tout ce que Suzanne retiendra c’est qu’elle n’est pas intelligente et que Sandra n’est pas jolie. Complimentez chaque enfant individuellement pour ce qu’il est et aidez-le à échapper à l’obsession de notre culture pour la comparaison, la compétition et le sentiment de n’être jamais « à la hauteur ».


Dans tout cela, je pense qu’il va sans dire que les paroles négatives viennent souvent de pensées négatives, notamment de pensées négatives à notre sujet. Nous voyons nos propres fautes, nous nous critiquons en paroles, ou au moins en pensées, et rapidement c’est comme cela que nous voyons tout et tout le monde. Pas de soleil, pas de roses, pas de promesses d’espoir ou de bonheur. Rapidement, nous sommes malheureux et notre entourage aussi. "

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je me souviens très bien de ce discours que j'avais entendu lors de la conférence générale et que j'avais ensuite relu dans le Liahona. le passage sur les enfants m'avait particulièrement touchée. et je m'en souviens toujours quand je dis quelque chose à Nat ou à Thom.on s'effroce de les féliciter quand ils font qqch (surtout Nat qui est plus grand) et de toutes façons je ne compare pas et sais combien ça peut blesser un enfant...